Close

7es Journées Cinéma et Psychiatrie de LyonDepardon, Un regard sur la psychiatrie

C’est avec un grand plaisir que les Journées Cinéma et Psychiatrie du Vinatier voient les centres hospitaliers de Saint Jean de Dieu et de Saint Cyr au Mont d’Or rejoindre l’organisation de ces rencontres dans le cadre de la Communauté Psychiatrique de Territoire Rhône Métropole (CPT). La reconnaissance de ces journées par les trois hôpitaux psychiatriques lyonnais, tout comme l’an passé par l’Agence Régionale de Santé, comme un temps de formation pour les professionnels et comme une action en santé mentale de lutte contre la stigmatisation de la maladie mentale nous permet de maintenir ces journées pour 2017 et d’envisager l’avenir avec confiance.

Pour la 7e édition nous avons l’honneur de présenter, le mardi 12  décembre  2017,  le  regard  de  Raymond  Depardon  sur l’institution  psychiatrique  et  nous  le  remercions  chaleureusement d’avoir accepté de participer à la rencontre avec le public à l’issue de la projection de son film, 12 jours. Dans la même journée,  nous  nous  proposons  de  projeter  ses  deux  autres  longs métrages sur le sujet : SanClemente, Urgences.

Confirmant notre partenariat historique avec le CNASM/Festival de Lorquin, la deuxième journée, le mercredi 13 décembre, sera consacrée au « best of » des Films présentés au Festival de Lorquin 2017. Une grande diversité de thématiques sera abordée lors des tables rondes organisées à l’issue des projections et au cours desquelles nous espérons, comme les années précédentes, la venue d’un maximum de cinéastes pour dialoguer avec les professionnels et le public.

Depuis leurs débuts, nos journées se veulent un lieu d’échange et de rencontre entre professionnels de la psychiatrie, usagers, familles, professionnels du soin, du médico-social et du secteur associatif,  cinéastes et cinéphiles. La mise en tension des regards, souvent divergents selon la position que chacun occupe, alimente la richesse des débats.

Le cinéma, plus que tout autre support, permet d’approcher l’autre, le filmeur comme le filmé, au plus près de sa subjectivité et de partager ce qu’il laisse percevoir de son monde.